Faire le deuil d’une maison, ce n’est pas simplement déménager. C’est quitter un lieu qui a abrité des rires, des pleurs, des repères, une part de soi. Ce deuil-là, souvent invisible, peut raviver bien plus que des souvenirs : il peut remuer des liens familiaux, des ruptures, des transmissions, des décisions subies ou douloureuses.
Dans cette rubrique, je m’intéresse à ce que l’on ressent quand il faut tourner la clé une dernière fois. À ce qui se joue quand un lieu que l’on croyait nôtre ne l’est plus. Qu’il s’agisse de la maison d’enfance, de celle d’un proche décédé, ou d’un logement quitté dans des circonstances difficiles, ces articles parlent de ce que l’on perd, de ce que l’on emporte… et de ce que l’on reconstruit ailleurs. Le deuil d’un lieu est une vraie séparation, souvent silencieuse, mais profondément émotionnelle.
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